Calvitie chez les jeunes : causes et solutions pour y remedier ?

Les hommes ainsi que les femmes sont souvent victimes de plusieurs désagréments liés à l’avancée de l’âge. Toutefois, certaines pathologies apparaissent de manière très précoce. C’est le cas par exemple de l’alopécie androgénétique. Cette forme de calvitie est la plus fréquente chez les hommes. Lorsqu’elle apparaît chez les adolescents de moins de 20 ans, ces derniers ont beaucoup de mal à l’accepter. Voici quelques solutions et traitements pour prévenir ou guérir ce trouble de santé.

Pelade chez les jeunes adolescents : Les facteurs de risques

S’il est tout à fait normal de perdre quelques mèches de cheveux (hair en anglais), une perte excessive et précoce constitue un symptôme potentiel d’un début de calvitie. L’alopécie androgénétique se matérialise par la chute de la chevelure au niveau des tempes, mais aussi au sommet du crâne. Lorsqu’elle est séborrhéique, la calvitie est provoquée par une production importante de sébum dans le cuir chevelu. Cela empêche la bonne croissance des cheveux et ces derniers finissent par tomber des tempes ou du crâne. Les signes qui permettent de reconnaître ce trouble sont :

  • Cheveu et cuir chevelu gras ;
  • Perte de volume et de l’aspect brillant;
  • Lourdeur capillaire;
  • Cheveu très fin;
  • Démangeaisons;
  • Apparition des pellicules.

La pelade cicatricielle en revanche n’affecte pas seulement les zones citées précédemment, mais peut se manifester dans n’importe quelle partie du cuir chevelu avec l’apparition de plaques rouges ou rosées. Ce qui détruit le bulbe et confère au crâne un aspect à la fois lisse et brillant. Les facteurs à l’origine de ce trouble sont relatifs à des problèmes de santé comme des affectations virales, congénitales, bactériennes ou infectieuses. Le changement des saisons est aussi une cause de la perte de cheveu (hair). D’automne en hiver, la majorité des hommes et femmes perdent une quantité importante de leurs cheveux. Le stress de la vie quotidienne, la pression psychologique professionnelle, familiale ou amoureuse stimulent la production de l’androgène, une hormone responsable dune chute capillaire.

Les nombreux troubles des hormones telles que la ménopause chez les femmes, une insuffisance de production de la thyroïdienne, des maladies liées aux ovaires, constituent également des facteurs de risques de l’alopécie. Une personne atteinte de la pathologie mentale nommée trichotillomanie arrache ses mèches de manière impulsive, soit pour les consommer ou les triturer entre les doigts pour calmer ses angoisses. Pour jouir d’une bonne santé, il importe d’avoir une alimentation saine et équilibrée. Toutefois, l’anorexie est une affection qui entraîne une carence alimentaire chez un individu. Le manque de vitamines et de sels minéraux empêche le système capillaire de produire les cellules indispensables au développement de la chevelure. L’utilisation trop fréquente d’un sèche-cheveux, fer à lisser ou à boucler, les teintes capillaires, les tresses serrées provoquent également l’alopécie.

Les traitements et solutions possibles

De nos jours, plusieurs médicaments permettent de lutter contre la chute capillaire. Il s’agit notamment de Minoxidil et Propecia recommandé par les dermatologues. Cependant, plusieurs utilisateurs ont mentionné quelques effets secondaires de ces médicaments anticalvitie. À défaut d’utiliser Minoxidil, un traitement naturel à base d’huile de ricin est aussi très efficace. Il suffit d’appliquer quelques couches régulièrement sur les zones touchées pour limiter la perte de la chevelure. La levure de bière est aussi connue pour son efficacité, grâce aux vitamines, protéines et sels minéraux qu’elle renferme. Ces éléments favorisent la pousse capillaire et empêchent la chute des cheveux. Si vous êtes à un stade très avancé de calvitie, vous pouvez faire recours à un traitement esthétique comme la greffe capillaire. L’opération consiste à implanter des cheveux synthétiques ou naturels sur la zone affectée. En complément à la greffe, améliorez votre hygiène de vie.